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En évolution constante, les villes se transforment pour répondre aux pratiques évolutives des distinctes époques, certaines périodes laissant d’avantage leur trace. Les années 50 ont marqué le mode de vie nord-américain par la démocratisation de la voiture et l’engouement pour la propriété. Ces pratiques ont entraîné l’étalement urbain par l’édification d’habitations unifamiliales en banlieues ainsi que le développement des infrastructures routières les desservant. S’en est suivi un véritable culte pour l’automobile et une planification urbaine encourageant cette pratique. Toutefois, sont-ce les pratiques sociales qui influencent les déplacements et la forme de la ville, ou plutôt l’inverse?
 
La littérature au sujet de la dimension sociale des pratiques de mobilité démontrent que l’origine de nos idéologies contemporaines et leurs évolutions ont eu une grande importance sur les formes urbaines et les pratiques qui y sont associées. Réciproquement, on y découvre que l’aménagement influence le rapport à l’espace de l’individu. Sa compréhension pourrait donc permettre de déterminer des hypothèses d’aménagement encourageant des modes de vies durables et représentatifs des aspirations de nos contemporains. Cet essai porte donc sur la compréhension du rapport contemporain à l’espace et les défis d’aménagement reliés aux mobilités territoriales.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
[1] Labeaume, 2013

Mobilités territoriales;

rêvons ensemble de transports alternatifs[1]

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